Les tribulations d'un papa qui se prenait pour une maman

Et s'il y avait une petite chose qui changeait! Oh! une toute petite chose, petite mais suffisante pour changer le présent.

Si on avait compris au soir du 7 janvier que nos communautarismes nous entravaient plutôt que de nous unir.

Que l'important n'était pas ce qui nous sépare, mais ce qui nous rassemble.

Si, réchauffés par cette idée, nous avions remisé dans l'intime nos croyances, les chérissant sans vouloir les imposer aux autres.

Si devenus un, nous ne tombions plus dans la démagogie des politiciens professionnels qui  exacerbent l’angoisse ambiante, plutôt que de chercher à l'adoucir.
Et si face à cette exigence, nous obtenions un discours d' honnêteté, dénué de sous entendus nauséeux dus aux enjeux électifs, plus personne ne voulant entendre parler de manipulations racistes.

Alors les gens seraient libres de chercher leurs solutions dans le respect de l'autre. Nous pourrions nous atteler ensemble à changer le "mode d'emploi" de notre société et la faire évoluer pour que seul les vrais problèmes comptent...

C'est à ce moment là, en général que j’entends la sonnerie du réveil et que tentant de me raccrocher à mon rêve, je me retrouve propulsé dans la réalité...